Article du 9 mars complété le 12
Grâce au module "images d'archives" de Google earth, on peut facilement se rendre compte de la vitesse de progradation d'une flèche littorale. Il suffit de comparer l'image 25 avril 2004 à celle du 11 octobre 2013. En neuf ans la progression moyenne des sédiments a été d'environ 500 mètres, soit un peu plus d'une cinquantaine de mètres par an. Signalons que cette avancée se fait aux dépens du platier corallien du lagon de Ranobe.
On peut également essayer de comparer avec la photo oblique vue d'avion que j'ai faite en 1989 (s'appuyer sur la route et les champs permanents). Là, la progression de la flèche est supérieure à mille mètres de 1989 à 2004, ce qui semble indiquer une constance certaine dans la dynamique.
Grâce au module "images d'archives" de Google earth, on peut facilement se rendre compte de la vitesse de progradation d'une flèche littorale. Il suffit de comparer l'image 25 avril 2004 à celle du 11 octobre 2013. En neuf ans la progression moyenne des sédiments a été d'environ 500 mètres, soit un peu plus d'une cinquantaine de mètres par an. Signalons que cette avancée se fait aux dépens du platier corallien du lagon de Ranobe.
On peut également essayer de comparer avec la photo oblique vue d'avion que j'ai faite en 1989 (s'appuyer sur la route et les champs permanents). Là, la progression de la flèche est supérieure à mille mètres de 1989 à 2004, ce qui semble indiquer une constance certaine dans la dynamique.
JML 1989 oblique |
2004 -2013 (en tireté rouge) |
2012 |
2013 |
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