« Quand leur maître revient d'un voyage ou d'une expédition, où il a couru quelque danger, les Malgaches s'accroupissent à ses pieds et appliquant leur nez sur son pied ils le flairent ou plutôt le reniflent, puis passant leur main dessus, ils l'essuient sur le sommet de leur tête, marquant par ce geste que leur maître et seigneur, peut s'il le veut, marcher sur eux, les fouler aux pieds, qu'ils lui appartiennent corps et âme. »
(Souvenirs de voyages d'Alfred Grandidier 1865-1870, Documents anciens sur Madagascar VI : p. 17)
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